Goguettes en Stock Cliquez sur le titre de la goguette pour afficher les paroles

Pas t'encor transmis par Hind

Quand flotte l'odeur de mort
Et de sang en pagaille
Ils font tout ce qu'ils veulent
je ne suis rien qui vaille

La rage prend de l'ampleur
Quand échoue la parole
L'impuissance dans la gueule
Quand on perd on est seuls

Je veux une crique
Un grand bateau
Pourquoi j'ai pas le droit d'fuir ?
J'crois que j'voudrais fuir

Je m'use je me heurte
Je veux perdre le contrôle
Ne plus rester polie
Ne plus lisser les rôles

j'ai peur de la police
Une colère profonde
Pourquoi ils seraient les seuls
Si tu frappes t'es moins seul

Je veux un cric
Un long manteau
Oser enfin tout détruire
J'crois qu'j'veux tout détruire

Crise d'une haine qui dort
Crise d'une haine
Haine, haine, haine, haine
Haine

Fuir ou détruire le pays
Fatigue militante
L'alternative accable
Partir ou dire ACAB

J'veux la ce'rise
Et la gâteau
Pourquoi je devrais choisir
J'crois qu'j'voudrais construire x2

Les gens qui n’en savent rien
me demandent souvent
et bien naïvement
Elle a perdu la mémoire, elle te r’connaît au moins ?

Mais c'est une absurdité,
l’pire à la vérité,
c’est pas d’être oublié,
mais d’la voir s’effilocher
une fois le mal nommé

Moi ma mère elle a la maladie d’Alzheimer
d’Alzheimer, d’Alzheimer
Elle perd l’ensemble de ses repères
et ça m’mets sur les nerfs

Moi ma mère elle a la maladie d’Alzheimer
d’Alzheimer, d’Alzheimer
ça lui donne l’oeil vide l’air de travers
J’suis triste et je n’sais pas quoi faire

Oui bien sûr j’ai hésité
j’voulais pas vous plomber
j’avais même préparé
« ça sifflait sur la colline
là bas à sainte Soline »
mais ce que j’ai traversé
comme fait de société
que je veux partager
c’est la place qu’on fait aux vieux et à leur dignité

Moi ma mère elle a la maladie d’Alzheimer
d’Alzheimer, d’Alzheimer
le déni la met souvent très en colère
et ça me mets sur les nerfs

Moi ma mère elle a la maladie d’Alzheimer
d’Alzheimer, d’Alzheimer
s’occuper d’elle c’est une vrai galère
J’suis triste et je n’sais pas quoi faire

Elle veux que je tienne sa main
que j’oublie les demains
que je parle d’hier
les lieux les noms les odeurs
qu’elle a tant fréquenté
Elle questionne, ingénument,
quand j’ui dit « 4 enfants »
elle trouve ça épatant,
Mais elle a perdu l’prénom de son premier bébé

Moi ma mère elle a la maladie d’Alzheimer
d’Alzheimer, d’Alzheimer
j’ui raconte plus mes petites misères
et ça me mets sur les nerfs

Moi ma mère elle a la maladie d’Alzheimer
d’Alzheimer, d’Alzheimer
si elle savait elle s’foutrait en l’air
J’suis triste et je n’sais pas quoi faire

Certain jours elle est perdue
elle semble disparue
le monde l’indiffère
elle nous décoche hardiment
des propos vénimeux
d’autre jours d’un air réjoui
elle fait de la poésie
et d’un air aguerri
entonne debout les femmes
et retrouve sa flamme

Moi ma mère elle a la maladie d’Alzheimer
d’Alzheimer, d’Alzheimer
pourvu qu’ce soit pas héréditaire
ça ça m’mets sur les nerfs

Moi ma mère elle a la maladie d’Alzheimer
d’Alzheimer, d’Alzheimer
lui ach’ter des couches la belle affaire
J’suis triste et je n’sais pas quoi faire

Quand les mois auront passé,
Que va t elle traverser ?
Que va t elle supporter
Le ciel est déjà chargé de nuages lourds,

et je m’aperçois émue
bien que toute perdue
et d’un pas chancelant
Qu’on aura su vivre là un beau moment d’amour

Moi ma mère elle a la maladie d’Alzheimer
d’Alzheimer, d’Alzheimer
on pleure de tristesse et de colère
et ça nous’met sur les nerfs

Moi ma mère elle a la maladie d’Alzheimer
d’Alzheimer, d’Alzheimer
on vit ensemble une drôle de croisière
C’est triste mais on va bien s’y faire !

Ouais à Anères, ça chante et ça donne
Oh oh, qu’est-ce que ça groove
Les gens qui passent sur scène y mettent tout leur cœur

Certains s’éclatent et font les marioles
Oh oh, ça tu approuves
Mais quand ils chantent très faux, là ça fait peur

Genre comme ça, Lala Lala

Une goguette sur Edouard Balladur
Original, je trouve
Qu’est-ce tu racontes, c’est trop nul, c’est mortel ennui

Oui mais tu vois ça pourrait être pire
Oh oh, on vous le prouve
En chantant une goguette sans grand chose à dire

Si c’n’est ça.... La la la Lala

On n’peut pas ne pas chanter au café
On en rêve toute l’année c’est vrai
Voyez l’ampleur du désir
Qui vient droit nous conduire
Dans ce coin magique des Pyrénées Ouais ouais ouais

Viens près de moi il faut que j’te dise
Oh oh j’ai honte j’avoue
Mais j’ai jamais rien compris à cette chanson
Un serpent qui chaloupe et console
Oh oh c’est trop chelou
Je préfère les chansons au texte moins abscon
Comme les Lacs Du Connemara

On n’peut pas ne pas chanter au café
On en rêve toute l’année c’est vrai
Voyez l’ampleur du désir
Qui vient droit nous conduire
Dans ce coin magique des Pyrénées

La la la la la la + impro Suzanne

Le public est super chaud, t’entends-ça ?
Comme quoi juste avec des la la la la la
Une ambiance du délire
On peut tous se réjouir
De passer ensemble une top soirée

On n’peut pas ne pas chanter au café
On en rêve toute l’année c’est vrai
Voyez l’ampleur du désir
Qui vient droit nous conduire
Dans ce coin magique des Pyrénées

Yeah Yeah Yeah !

Quand la nuit arrive, des bruites de chaînes résonnent dans le noir
Et toutes les princesses se retrouvent autour de Cendrillon
Elles en ont marre de ces princes qui ne font rien à la maison
Et Cendrillon leur apporte l'unique solution: Zombification
Il seront...

Zombies, zombies ce soir
Libérées, délivrées de ce poids, de ce cauchemar
Ils seront...
Zombies, zombies ce soir
Malgré leurs chaînes, ils pourront toujours Danser, danser, danser

Le temps d'une machine et tous les princes seront zombifiés
La formule magique est Zombifica Zombifico
Ils seront beaux quand ils quitteront la cave de Cenndrillon
Et les princesses seront vengées de leurs princes nonchalants
Il est vraiment temps qu'ils deviennent...

Zombies, zombies ce soir
Libérées, délivrées de ce poids, de ce cauchemar
Ils seront...
Zombies, zombies ce soir
Malgré leurs chaînes, ils pourront toujours Danser, danser, danser

Tout comme moi sans doute
Tu entends tu écoutes
La radio la télé.
Quand j’entends ces messages
Ça me met grave en rage
J’en ai vraiment assez.
Messages du gouvernement
Qui nous dit gentiment
Nous sommes tous concernés
Alors pour le climat
Si ensemble on se bat
On va y arriver !

Les suivez-vous coûte que coûte
Tous vos conseils ? Moi j’en doute.

Peut-êtr’ que vous baissez
D’un tout petit degré
L’eau de votre piscine
Et votre beau gazon
Votr’ jardinier le tond
Avec sa vieille machine
Pour vos p’tits déplacements
Voiture évidemment
Mais la p’tite Mercedes .
Dans vos appartements,
Seul’ment les p’tits écrans
Y en a dans toutes les pièces.

Les suivez-vous coûte que coûte
Tous vos conseils ? Moi j’en doute.

On peut vous faire confiance
Ce n’est qu’en cas d’urgence
Que vous prenez l’avion.
Vous faites de grands festins
Avec les plus grands vins
Tout est bio pensez-donc !
La clim vous la mettrez
Mais juste au rez- d’chaussée
Il est bien assez vaste
Vous direz à vos gens
D’éteindre en repartant,
Vous n’manquez pas d’audace !

Les suivez-vous coûte que coûte
Tous vos conseils ? On ’en doute.

Tout’ proportion gardée
Dans la haute société
C’est pas très difficile
De faire quelques efforts
Ça n’coûte rien alors
La vie est si facile
Peuvent-ils seulement comprendre
Quand ils disent tous ensemble
On a envie d’crier,
« faut qu’les riches payent plus cher
C’est ça qu'est nécessaire
Si on veut y arriver !
Faut qu’les riches payent très cher
C’est ça qui est nécessaire !
Si on veut y arriver !

[Intro.]

Qu’est-ce qu’on va dire de moi chez Bolloré
Si je déteste les fachos,
Si j’vais pas chez les curés,
Que je suis plutôt France Info ?
On dira : « Quel journaleux ! Il fait pas du bon boulot. »
Qu’est-ce qu’on va dire de moi sur TF1
Si j’regrette pas Jean-Pierre Pernaut,
Si j’boycotte la Formule 1
Et que j’préfère les écolos ?
On dira : « Quel journaleux ! Il fait pas du bon boulot. »

[Refrain :]

Propageons le virus de la droite,
Les médias sont à genoux !
Les français ne boufferont que des pâtes
Mais ça fait rien, on s’en fout !
On s’en fout ? On s’en fout un petit peu, c’est vrai !

[Couplet 1.]
Vous Copé et moi Marion,
Vous Marine et moi Fillon,
Vous Mougeotte et moi Canal :
Let’s talk about viande Halal.

Vous Zemmour, moi Darmanin
Vous l’Express, moi Europe 1,
Vous Ménard, et moi Béziers :
Parlons de la Sécurité

Refrain

[Couplet 2.]
Vous l’armée et moi les flic
Vous l’tonfa et moi la trique
Vous le panier, moi la salade
Des expulsions en croisades.

Vous les hommes, la guerre, la pine,
Vous les femmes à la cuisine
Vous les beaufs et moi le flouze
Clash ton raciste sur Cnews
Cnews ? Canal ?
(Mais oui, écoutez:)
C’est difficile de parler avec la moitié de l’Hémicycle

On peut débattre en étant de droite
Sans jamais nous disputer.
On n’est pas d’accord mais on s’éclate
C’est ça la pluralité
Copé ! Marion !
Sarko ! Macron !
Mougeotte ! Onfray !
Nadine ! Mégret !
Donald ! Mickey !
Pasqua ! Pasqua ! Pasqua !

En attente du texte

pas t'encor

Y’a une maison près du café
Tite brouette, balayette
Y'a une maison près du café
Je sais que vous la connaissez
Je sais que vous la connaissez

Hugo il a tout cassé
Tite brouette, balayette
Hugo il a tout cassé
Même les murs et les parquets
Même les murs et les parquets

L'papier peint pour l’enlever
Tite brouette, balayette
L'papier peint pour l’enlever
Faut tout mouillé et grattouiller
Faut tout mouillé et grattouillait

Le plancher faut l'fabriquer
Petite brouette, balayette
Le plancher faut l'fabriquer
Et il faut tout dépoussiérer
Et il faut tout dépoussiérer

Y’a la Bé qui est passé
Tite brouette balayette
Y’a la Bé qui est passé
Pour nous amener des bons goûter
Pour nous amener des bons goûter

Les tomettes faut les brosser
Tite brouette, balayette
Les tomettes faut les brosser
C’est Anne-Laure qui s’y est collé
C’est Anne-Laure Laure qui s’y est collé

Dès demain faut recommencer
Petite brouette, balayette
Dès demain faut recommencer
Et je sais que vous y serez
Et je sais que vous y serez

A vous les résidents
J’écris ces quelques lettres
Sur papier toilette sèche
Tant qu’il est encore temps
Je viens de recevoir
Le programme d'Anères
Et mon cœur se serre
C’est pour mercredi soir

Oh vous les résidents
J'veux aller à Anères
Car je souhaite sur cette terre
Garder mon âme d’enfant
C’est pas pour vous flatter
Il faut que je vous dise
Ma décision est prise
Je m’en vais rappliquer

Depuis que je suis venu
j’y ai vu Buster Keaton
Et puis Harry Langdon
J’en ai pris plein la vue
J’ai adoré Murnau
Et bien sûr Fred Niblo
J’ai beaucoup rigolé
Et j'ai aussi pleurer

Si vous me recevez
Je vous ferai plein de crêpes
Et puis beaucoup de galette
Sucrées ou bien salées

Demain de bon matin
Je prendrai ma voiture
Ce n'sera pas trop dur
Je serai sur le bon chemin

Et puis qu’on vient le soir
Et que c’est la fête au bar
On fait de la musique
Et ça c’est fantastique
En cuisine ça s’affaire
On croit que c’est la pagaille
Mais que personne ne raille
chacun sait c'qu’il doit faire

Et vous les bénévoles de toutes ces journées folles
Donc vous êtes les piliers
Soyez en remercier
Promis promis juré craché
J’aurai les poches percées
Et dedans le cochon
Je mettrai plein de pognon
Je mettrai plein de pognon

A Anères j'ai plein de copains
Françoise, Hugo, Aurélie...
Moi, je les aime bien
Toute l'équipe du Café du Village
Tous les jours je viens à vélo
Qu'il pleuve ou qu'il fasse chaud
Moi, le cochon je lui donne jamais rien
Je suis le roi des radins

Nous sommes en attente du texte...

Voilà combien de jours, voilà combien de nuit
Voilà combien de temps que je n’ai pas dormi
Je me dis cette fois je compte les nuages
Les moutons sont allés rejoindre les alpages
Et jusqu’au petit jour c’est le compte à rebours
La nuit elle est jolie, pour sûr je la savoure
Je me laisse guider par la mélancolie
Mes pensées vagabondes jusqu’à l’infini

Dis, quand rêveras-tu ?
Dis, au moins le sais tu ?
Et tout ce temps qui passe
Ne se rattrape guère
Et ce temps suspendu
N’a pas d’autres vertus

La ville s’est endormi depuis longtemps déjà
Quand je sens que m'emporte ce je ne sais quoi
J’espère le repos mais toujours je m’étonne
De n’avoir point dormi quand mon réveil sonne
Dans mes bras je chavire, c’est comme une rengaine
Je vais, je viens, je vire, je tourne, j’ai la migraine
Des images me hante, je me parle tout bas
Je m’en vais faire un tour, je compterai mes pas

Dis, quand rêveras-tu ?
Dis, au moins essais-tu ?
Et tout ce temps qui passe
Ne se rattrape guère
Et ce temps suspendu
N’a pas d’autres vertus

J’ai beau fermer les yeux quand disparaît le jour
C’est bien trop ennuyeux et je fais demi-tour
Vous ne comprendrez pas que je ne peux dormir
Je ferai de cette nuit mes plus beaux souvenirs
Je convoque mes doutes la nuit porte conseil
Je sonde le réel c’est comme un rituel
Je ne suis pas de celles qui est au petit matin
lentement nous reviennent de rêves lointains

Dis, quand rêveras-tu ?
Dis, au moins essais-tu ?
Et tout ce temps qui passe
Ne se rattrape guère
Et ce temps suspendu
Et bientôt révolue

Lui il est tout petit est ouvert à tout le monde
On n’y vient entre amis, boire des coups faire la ronde,
Aux éclats de rire
Vous pouvez débarquer on vous accueillera
Un duvet sur le dos, on vous prêtera des draps,
Vous pourrez dormir, vous pourrez dormir,
On l’aime à mourir

Bienveillance amitié c’est tout ce qu’il y a ici
Malheureusement certains viennent piller le paradis
Et viennent tous pourrir
Ils ont cassé des portes, envoler le pâté
Nos amis les cochons en ont même fait les frais
Sur leurs deux oreilles, ne peuvent plus dormir
Ne peuvent plus dormir

Ils ont vidé toute la bière
Et même voler la tireuse
Nous ont même déclaré la guerre
Ici, à nous aussi

Si vous êtes parmi nous profitez du moment
Regardez bien vos g'noux en savourant l’instant
Et rentrer dormir
Nous on est bien conscient d'la magie d'ces instants
Alors on vient chanter pour vous dire d’arrêter
D'le laisser en paix, not' petit café
Ils ont réellement triste mais pour en arriver là
Festival cinéma bœuf Goguette et calva
On peut plus dormir

23 ans que ça dure et nous on aime ça
Alors merci les 3 et nous on reste là
On veut plus partir, on ne peut plus partir
Une part de l’avenir