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Aujourd'hui

Cinéma indépendant :  » La Cigale, le Corbeau et les Poulets  » de Olivier Azam

Café du village Grande rue, Aneres, France

L’histoire Toutes les polices de France sont aux trousses de la mystérieuse « Cellule 34 » qui menace de mort le président de la République. 150 policiers dont la brigade antiterroriste débarquent dans un petit village de l’Hérault. Qui sont ces dangereux papys accusés d’être le corbeau ? C’est l’histoire invraisemblable d’une farce juridique qui aura inquiété jusqu’à l’Elysée et fait débouler l’élite de la police antiterroriste dans un petit village de l’Hérault où une bande de villageois aux gabarits plutôt Obélix qu’Astérix résistent. Ces drôles de zouaves ont très bien compris que la démocratie ne s’use que si l’on ne s’en sert pas. Une fable de la France d’aujourd’hui. Un film de Olivier Azam réalisé avec la complicité de Laure Guillot Produit et distribué par Les Mutins de Pangée Plus d'info cliquez ici 20h00 Repas 21h00 Projection Repas, boissons et projection en participation financière libre…  

Cinéma indépendant : Programmation en cours

Café du village Grande rue, Aneres, France

Programmation en cours 20h00 Repas 21h00 Projection Repas, boissons et projection en participation financière libre…

Cinéma indépendant :  » Qui es-tu Lucio ?  » de Emile Navarro

Café du village Grande rue, Aneres, France

Dans ce documentaire, nous partons à la rencontre de Lucio Urtubia, un militant anarchiste qui, à 22 ans, fuit l’Espagne franquiste, pour venir se réfugier en France où il travaille comme maçon. Son militantisme l’amènera à devenir faussaire de chèques de voyage et fabriquant de faux papiers pour aider la lutte contre les dictatures et l’impérialisme. Plus d'info cliquez ici 20h00 Repas 21h00 Projection Repas, boissons et projection en participation financière libre…

« Zones Humides, un présent retrouvé », film documentaire de Boris Claret et Isabelle Dario

Café du village Grande rue, Aneres, France

Un récent inventaire départemental a révélé la rareté et la fragilité des dernières zones humides du Tarn et Garonne. Ces 1% du territoire ont échappé à plus d'un siècle de drainage et de comblement, simplifiant à outrance les fonctionnalités des paysages. Le film retrace la mobilisation, sur une année hydrologique complète (2016-2017), de tout un réseau d'acteurs de terrain, techniciens de rivière, agriculteurs, chasseurs, botanistes, écologues, élus et propriétaires. Ensemble, ils engagent des coopérations pour redécouvrir, valoriser, restaurer et partager ce cadeau oublié qu'offrent les multiples fonctionnalités des zones humides. Dans le contexte actuel de fortes pressions sur la ressource en eau et sur la biodiversité, ce regain d'intérêt pour ce maillon discret mais essentiel des cycles de l'eau et de ceux du vivant est de bonne augure.

Ciné Indé – Courts métrages Jacques Mitsch

Café du village Grande rue, Aneres, France

  « La force comique de Jacques Mitsch se situe entre un humour intemporel, lunaire, à la Tati, et une fantaisie débridée, plus rabelaisienne Lorsqu’un genre s’avère trop étroit pour lui permettre de s’exprimer pleinement, Jacques Mitsch n’hésite pas à inventer des genres, tel le docupérette (documentaire doublé de l’opérette) pour raconter l’histoire d’un père tyrannique envers sa fille. Le travail des musiciens, l’accordéon, les différents paroliers (chansons et fiction) et le ton faussement documentaire donnent le la : Jacques Mitsch est un chef d’orchestre qui parvient à créer une harmonie avec des instruments pourtant discordants. Mettre en scène, c’est pour lui rechercher le point de décalage dans le langage cinématographique qui permettra de faire surgir l’univers poétique, quelque part entre la réalité et l’imaginaire » Sylvie Delpech, Bref, le magazine du court métrage, numéro 78 (juillet-août 2007) https://www.youtube.com/watch?v=qZJVOephvU8  

Cinéma indépendant :  » L’Amour et la Révolution  » de Yannis Youlountas

Café du village Grande rue, Aneres, France

« Dix ans après les premières émeutes, les médias européens prétendent que la cure d’austérité en Grèce a réussi et que le calme est revenu. Ce film prouve le contraire. À Thessalonique, des jeunes empêchent les ventes aux enchères de maisons saisies. En Crète, des paysans s’opposent à la construction d’un nouvel aéroport. À Athènes, un groupe mystérieux inquiète le pouvoir en multipliant les sabotages. Dans le quartier d’Exarcheia, menacé d’évacuation, le cœur de la résistance accueille les réfugiés dans l’autogestion. Un voyage en musique parmi celles et ceux qui rêvent d’amour et de révolution. " 20h00 Apéro grignotage 21h00 Projection Repas, boissons et projection en participation financière libre…

Vendredis du cinéma !

Café du village Grande rue, Aneres, France

Bonjour à tous ! Les vendredis du cinéma reprennent, sous la direction de Michel Mathurin, au Café du village à partir de ce 8 mars 2019 ! Pour ouvrir cette nouvelle saison de documentaires, fictions, cinéma indépendant et de patins et de couffins, nous vous proposons pour cette première le film Sillon Sillages de Paul Champart dont voici le synopsis : Descendant de la Loire, remontant le temps, le film évoque l'univers musical et humain de Gérard Pierron sous la forme originale d'un river movie. Gérard Pierron, connu comme mélodiste, interprète engagé, est révélé ici comme un passeur. Le passeur d’une communauté d’auteurs authentiques, d’une poésie paysanne et marine, d’un mode de vie post-capitaliste, nourri d’un bon sens populaire où la nature et l’homme sont réconciliés. "Un homme qui ignore son passé n’a pas d’avenir." Gérard Pierron Comme d'habitude, repas-apéritif du cinéma entre 19h et 21h ; à 21h, début de la séance ! Tous nos évènements restent en libre participation financière, - mais cela, vous le saviez déjà. À bien vite ! (Pour ceux qui souhaiteraient en savoir davantage, une explication plus longue du réalisateur à la suite de la photo)     J’ai croisé plusieurs fois Gérard Pierron l’an dernier : d’abord pour les besoins d’un livre – Allain Leprest / Gens que j’aime – puis, le temps passant, uniquement pour le plaisir… Chez lui, contrairement à d’autres artistes, il n’y a aucune contradiction entre le créateur et l’homme : ils ne font qu’un, en tous points conformes à l’image (humaniste et attachante) véhiculée par l’œuvre. Durant ces séances de travail-parties de plaisir, il m’est arrivé de croiser un jeune homme, du même âge que moi (c’est-à-dire plus si jeune, tout compte fait…), gravitant lui aussi autour de Pierron. Renseignement pris : il s’appelait Paul Champart. Déjà auteur d’un documentaire sur la violoncelliste Emilia Baranowska (disponible aux éditions L’Harmattan), il préparait cette fois un film sur le mélodiste des "Mangeux d’terre", des "Filles de la Loère" ou de "La Chanson d’escale". Juste retour des choses : puisque les musiques de Gérard Pierron avaient été de magnifiques passeuses, faisant découvrir aux auditeurs des années 70-90 les poètes Gaston Couté, Emile Joulain et Louis Brauquier (entre autres) – il était normal que les nouvelles générations s’emparent de son œuvre et la transmettent à leur tour aux années 2000. Les quelques séquences à peine montées que j’ai eu alors la chance de découvrir en avant-première, donnaient une belle idée du film à venir. Après visionnage intégral, le 23 mai dernier, dans un Forum Léo Ferré en liesse – où le film a été diffusé après le concert de Gérard, soit trois heures de beaux textes, belle musique, belles images, pour un prix dérisoire – l’impression se confirme. Plus qu’un documentaire qui reviendrait sur les moments-clés de son parcours, ce film esquisse une balade rêveuse, flânerie poétique à travers une œuvre qui ne l’est pas moins. Sillons sillages évite les voies sagement balisées de l’entretien-illustré-d’extraits-significatifs, pour emprunter des chemins de traverse. Il redescend cette Loire si souvent évoquée au fil des chansons, ponctuant le voyage d’étapes significatives – un village de caractère, une famille aimante, une répétition avec des amis musiciens – avant de boucler la boucle en rejoignant la mer (où tout avait commencé, par une évocation du périple fondateur sur un Terre-Neuvas en 1969). Chaque étape est liée, en quelques mots simples – mais rigoureusement choisis – à une ambiance, un parti pris esthétique, voire politique : c’est que sous ses airs de paysan bonhomme autoproclamé artiste naïf, le "gâs qu’a bien tourné" (pour paraphraser Couté) est un esthète doublé d’un militant (tendance rouge-brique-anar) de la douceur de vivre. Ses propos sur les vertus contestataires de la ruralité, l’attachement à un terroir qui meurt mais ne se rend pas (et "n’empêche pas de se sentir citoyen du monde"), font mouche. Et lorsque une chorale d’hommes et femmes de tous âges entonne "La Paysanne" de Couté – cette Marseillaise populaire que l’on rêverait de substituer à l’officielle – c’est à la fois émouvant ET engagé. Le film est bercé par une dizaine de chansons, parmi les plus marquantes composées par Pierron. Pour éviter le piège du "best-of", chacune est mise en scène dans des conditions originales : que ce soit une simple répétition dans l’arrière-salle d’un cabaret – où Gérard, tout en donnant l’impression d’être un autodidacte complet ("mélodiste naïf" dit-il modestement – certains autoproclamés "compositeurs savants" devraient en prendre de la graine) mène rondement sa barque et suggère ses envies d’arrangements bien plus qu’il ne les impose – ou un bœuf improvisé dans un port (avec outils métalliques changés en instruments) au pied des bateaux un petit matin… les mises en situation sont à chaque fois rêveuses et contemplatives, captant le beau rapport existant entre Gérard Pierron et le paysage qui l’entoure (et l’inspire). On voit ainsi s’incarner les lieux ayant nourri son imaginaire artistique – lui qui n’écrit pas de poésie (malgré un contre-exemple ici : "Chanson du repêché dans la rivière de Loire", 1981) mais en injecte dans tout ce qu’il chante. Les paysages qu’il arpente – régions riches de tant de beautés singulières, que les simplifications administratives ne parviendront jamais à banaliser – et la ruralité qu’il exalte parviennent à être à contre-courant sans paraître réac’ ou passéistes. Il y a ces séquences amicales captées dans son village des Rairies, où certaines aires de jeu ("la boule de fort, monsieur, c’est une idée qui roule"!) ont des allures de chapelle ouvrière. On retrouve aussi des gens qui nous sont étrangement familiers… comme dans cette belle scène, chez lui, où ses enfants (qui lui ressemblent – ses fils en particulier – de façon troublante), après avoir rendu hommage à son talent de mélodiste, prennent un instrument pour donner à entendre leur propre musicalité. Ces mômes que l’on a déjà croisés ici et là sur des sillons de disques – dans la chorale du "Terre Neuvas des foins" (2003) par exemple – quel bonheur de les voir entrer aujourd’hui dans la carrière, main dans la main avec leur père qui parachève la sienne. Même si tout est rigoureusement concerté, Paul Champart et son scénariste Laurent Roth font preuve de tant de légèreté dans leur approche, qu’on a l’impression d’assister à quelque chose de très naturel. Ainsi, cette mémorable séquence de "Mangeons des fruits ma caravelle" (1990, poème de Louis Brauquier), filmée un petit matin avec Patrick Reboud, Marie Mazille et Yves Perrin (réminiscence : c’est précisément ce passage qui m’avait été donné à voir, pas encore étalonné, en avant-première quelques mois auparavant) : les musiciens investissent un lieu pour le moins exotique (port marchand) comme s’il s’agissait d’une salle de concert. Il y a un côté "prise unique" : on sait que le jour se lève, que l’on va tourner dans la continuité, que la magie dépendra à parts égales du talent des musiciens et des variations de la lumière naturelle… Dans ce décor étrange et familier, une intimité se crée, et l’on capte la complicité qui s’instaure entre les artistes, à mesure que le soleil arrive. Les doigts engourdis se dégèlent à la chaleur de la voix du chanteur. Ils tâtonnent, viennent à bout de leurs hésitations pour trouver l’arrangement qui exprimera le mieux les sortilèges de la mélodie – et ramènera la poésie dans ses filets. Inévitablement, le film revient aussi sur Allain Leprest, que Pierron a contribué à révéler – en suggérant son nom aux organisateurs du Printemps de Bourges 1985, après l’avoir découvert dans un cabaret parisien à moitié vide. Paradoxalement, alors qu’on attendait beaucoup de ces séquences, c’est le seul moment où le film perd (un peu) le Nord : la scène où les habitants des Rairies visionnent l’extrait d’un autre film (Allain Leprest, Chanteur citoyen, de Caroline Bouderlique – que quelqu’un serait bien inspiré de rééditer) semble compassée, voire carrément artificielle. Puisque le poète-chanteur était mort au moment du tournage, le subterfuge consistant à filmer des gens regardant d’anciennes images (où lui et Pierron rient ou chantent ensemble) est une fausse bonne idée : pour une fois on devine la mise en scène en amont. Comme pour Couté ou Brauquier, les propos de Gérard et les textes d’Allain auraient pu suffire. L’aura du poète de Mont-Saint-Aignan est encore si forte – comme lors de cette inauguration d’une rue à son nom, où la plaque commémorative accrochée de travers suffit à évoquer sa trajectoire claudicante – qu’il n’avait pas besoin d’un tel artifice. Mais le film, à part ça, est si réussi, qu’on ne saurait lui en tenir rigueur. Le seul autre petit reproche qu’on pourrait lui adresser concerne sa durée : 1h10, c’est bien court, quand on a tant de belles choses à dire…

Vendredi du Cinéma – « La ruée vers l’os » de J. Mitsch

Café du village Grande rue, Aneres, France

Bonjour à tous ! Comme chaque second vendredi de chaque mois, nous vous invitons à notre soirée de cinéma indépendant ! Cette fois-ci, ce sera "La ruée vers l'os" de J. Mitsch, qui sera projetée en présence du réalisateur ! Nous vous espérons nombreux ; cette programmation cinéma est importante à nos yeux ! Par ailleurs, comme d'habitude, nos évènements sont en libre participation financière ! RÉALISATION: Jacques Mitsch SCÉNARIO: Jacques Mitsch, Francis Duranthon, Maurice Ribière MONTAGE: Gilles Pedoussaut IMAGE: Florian Bouchet MUSIQUE: Julien Taillefer PRODUCTION: La Compagnie des Taxi-Brousse / Arte France DURÉE: 52′ DIFFUSION:  ARTE Les squelettes de dinosaures se disputent aujourd’hui à prix d’or lors de prestigieuses ventes aux enchères. Les plus recherchés viennent de l’Ouest américain, là où, au milieu du XIXe siècle, deux pionniers de la paléontologie, Edward Cope et Othniel Marsh, ont mis au jour les premiers spécimens. Mus par une même passion, les deux scientifiques vont se lancer dans une quête effrénée d’ossements, en pleine ruée vers l’or. Mais bientôt, de détournements de fossiles en petites trahisons, la complicité s’effrite. Jusqu’à ce que Cope commette une erreur fatale en plaçant la tête d’un squelette de reptile marin à la place de sa queue. Désormais, chacun va monter ses propres expéditions : avec ses étudiants et d’anciens chercheurs d’or, Cope prend pour guide Buffalo Bill, tandis que Marsh fait confiance à Red Cloud, le chef des Sioux, pour le protéger lors de ses fouilles… Véritable western scientifique, ce documentaire raconte avec allant le duel fratricide de deux pionniers dont l’ambition fera dérailler les esprits rigoureux. À partir de saynètes façon film muet – souvent cocasses – et de petites animations délicieusement instructives, il revient sur les origines de découvertes qui aujourd’hui affolent les ventes aux enchères, tout en donnant la parole à des paléontologues contemporains. Une manière divertissante de plonger dans cette science passionnante encore agitée par de nombreuses polémiques. Le Monde Grand Prix au Festival international du film d’Archéologie (ICRONOS) de Bordeaux – 2014 Prix du Public au Festival du film d’Archéologie (AIRCHEO) de Toulouse – 2015

Vendredi du cinéma – « Ici comme ailleurs »

Café du village Grande rue, Aneres, France

Bonjour à tous ! Comme à notre habitude, nous vous convions ce deuxième vendredi du mois à notre soirée cinéma indépendant ! En ce charmant mois de Mai, ce sera donc "Ici comme ailleurs" de MM. Fernando Garcia Blanes et Nicolas Van Caloen. Un des réalisateurs sera présent dans la salle, pour répondre aux questions en fin de séance et engager une discussion sur son œuvre. Bien sûr : apéro-repas à partir de 19h, jusqu'à 21h pour le début de la séance ! Naturellement, tous nos évènements sont en libre participation financière. En vous espérant nombreux ! Nous vous laissons avec le synopsis : Ici comme ailleurs Scénario et réalisation : Fernando Garcia Blanes et Nicolas van Caloen (2017) Avec la montée des inégalités sociales un peu partout dans le monde, et jusqu’en Estrie, pourquoi la société persiste-t-elle à nous faire croire que la réussite (ou l’échec) dépend uniquement de la volonté personnelle? Cette idée du self-made-man, c’est-à-dire l’individu qui n’agit que dans l’optique « d’investir » dans sa réussite personnelle, n’est-elle pas le reflet de l’individualisme contemporain? Nous avons choisi la région de l’Estrie (sud du Québec, près de la frontière américaine) en raison de son histoire manufacturière et agricole. Ainsi, nous démontrerons que la pauvreté existe partout, ici comme ailleurs… En effet, l’histoire nous démontre très bien que le « développement » est surtout une question financière et non humaine. Lorsque les économies changent (en raison de la mondialisation ou du productivisme capitaliste), ce sont toujours les individus qui paient !

Vendredi du cinéma – 80 ans de la Retirada – R. Prost

Café du village Grande rue, Aneres, France

Un autre futur - Il n’y a plus de fous, un film de Richard Prost (1989)   La guerre civile espagnole a laissé dans la mémoire collective et les mémoires individuelles des traces indélébiles. Traces d’espoir, traces de honte, traces de sang et traces d’émotion. Cette guerre civile, c’est une guerre révolutionnaire avant tout pour la liberté et la solidarité. C’est une guerre d’idéal pour lequel s’engagent des hommes et des femmes du monde entier.   L’année 2019 sera nécessairement l’année, de l’évocation de La Retirada, l’exode des 500 000 républicains espagnols qui, après 32 mois de combat, seuls contre les militaires factieux dirigés par Franco, aidés par les régimes fascistes européen, furent accueillis – trop souvent dans des conditions indignes – par la France frileuse de 1939.   Grignotage à partir de 19h / projection à 21h ! Venez nombreux !

Film : « Un berger et deux perchés à l’Elysée ? »

Café du village Grande rue, Aneres, France

Ancien berger qui a vu les ours, les aigles, qui ne craint ni Vladimir, ni Bachar, ni le ridicule, Jean Lassalle est candidat à la présidentielle. Deux réalisateurs mythomanes et pas peu fiers sont embarqués dans sa croisade comme conseillers de campagne. Les deux « perchés » le voient comme le futur président qui va jumeler la France avec des pays révolutionnaires d’Amérique latine. Malgré leur amateurisme et les balles dans le pied de leur candidat, le montagnard béarnais parvient contre toute attente à se qualifier pour le premier tour de l’élection ! Victoire ? Les deux « spins doctors » autoproclamés et leur champion ne sont pas au bout de leurs surprises...   Apéritif à partir de 19h – Repas à 20h  . Participation libre et nécessaire. Venez nombreux ! 

Cinéma :  » CUSCO face à GOLIATH « , Le “Buen Vivir” face à l’extractivisme

Film documentaire : Face au modèle unifié de société, excluant et prédateur jusqu’aux symboles, des Péruvien.ne.s revisitent leur passé pour inventer leur présent fondé sur une prospective durable. Ce documentaire de Valie bouscule jusqu’à notre conscience de notre propre quotidien. Dans la région andine de Cusco, au Pérou, les espaces de «buen vivir» des communautés originaires et des collectifs collaborant à la défense des territoires et de la culture des Indiens quechuas doivent faire face aux fausses promesses de développement promues par les multinationales et l'état. Derrière les images d'Épinal du Pérou vantant ses vestiges et traditions, le «buen vivir» andin (concept inspiré du mode de vie des sociétés natives d'Amérique du Sud que chaque peuple a certainement connu à un moment de son histoire) est menacé par l'extractivisme, logique économique de pillage des matières premières du Sud, alimentant le commerce global au détriment des territoires et des cultures locales. -14% des Andes péruviennes en concessions minières ! Que faire face aux logiques du marché mondial ? De plus en plus de Péruviens se retroussent les manches avec cœur, créativité et détermination. Pour beaucoup, il est urgent de repenser le monde.   Nous vous accueillons pour l’apéro grignotage  à 20h (horaire n’incluant pas les différents quarts d’heure locaux) pour profiter ensemble du film à partir de 21h. Comme toujours pour les événements proposés au Café, la participation est libre mais néanmoins nécessaire.  

Projection: « Les Coriaces sans les Voraces »

Café du village Grande rue, Aneres, France

à partir de 19h c'est apéro-grignotage et à 21h c'est projection ! Les Coriaces sans les voraces Un film de Claude Hirsch France | 2017 | 83 minutes Synopsis La suite de l'aventure des ex-Fralib à Gémenos près de Marseille : les heurts et bonheurs d'un collectif ouvrier qui passe de la longue lutte contre la fermeture de leur usine au redémarrage de la production en coopérative. Le nouveau défi est d'arriver à la rentabilité, pour survivre et embaucher, en gardant la problématique sociale avancée qui a fait leur cohésion et leur raison d'espérer un avenir commun. Nous sommes au cœur de leur réflexion collective et de leurs débat. Audrey Vernon incarne la fée mutine qui vient les « bousculer » avec humour et tendresse en interprétant une comédienne qui prépare un futur rôle d'ouvrière, elle nous fait cheminer dans l'usine à la rencontre de ces nouveaux coopérateurs toujours aussi Coriaces dans leur volonté de donner corps à leur rêve de lutte : produire ensemble à leur façon. https://vimeo.com/247115374